Oui ça, c’est Palace, Palace ! ( PV Koyomi )

Le lendemain après mon arrivée au Refuge Nevan, le devoir m’appelait pour une enquête en ville. D’où venaient les mercenaires qui nous avaient attaqués dans le parking ? Leur employeur avait une idée maléfique en tête pour capturer vivant un mutant, c’était clair. Je n’avais trouvé qu’un seul indice dans le van, une petite carte faisant la publicité du Silent Palace. Peut-être n’était-ce pas lié, peut-être que si. Je devrais donc laisser à regret mon homme, même si c’était brièvement pour me lancer seule dans la traversée de la ville, parce que j’avais alors le plus de chance de me faufiler en solo sous les sens affamés des zombies, et les instincts lubriques des mutants.

Alors, ça se passe une semaine après mon arrivée au refuge Nevan, le meilleur de la ville ! Comment ça, le seul aussi ? Pas sur, ils sortaient bien de quelque part, les mercenaires « captureurs » de mutants. L’instinct de la chasseresse, ma vigilance et sûrement un brin de chance m’amenèrent donc dans le Palace qui n’était plus que l’ombre de lui-même, je le constatais en visitant les lieux à la recherche d’un indice. Les prédateurs de tout poil l’avaient saccagé mais faute de nourriture, ils l’avaient délaissé pour se consacrer aux joies de l’errance dans certains quartiers de la ville, plutôt que d’autres. Qu’on ne me demande pas pourquoi une telle préférence, suis pas une zombie et j’espère bien ne pas le devenir hein ! Le pistolet muni dans ce genre de lieu où le moindre coup de feu pouvait être aisément entendu des zombies qui ralâient dehors, ça râle tout le temps un zombie tellement ça a faim, je cherchais avec ténacité, avant de rencontrer un mort vivant dans un placard. Un domestique à priori, avec sa tenue de travail et une gueule de déterrée, c’était le cas de lui dire. Dès qu’elle me voit, elle pousse un rugissement et s’apprête à me bondir à la gorge. Quelle impolitesse ! Dès que je la vois, je lui colle une balle silencieuse dans la tronche, oui mais moi, c’est pour survivre, pas par faim ! Ils n’ont même pas besoin de manger pour survivre, ces carnivores, c’est de la gourmandise ! Digère mon plomb, chair pas fraîche !

*Une heure après*

A priori, je suis venue pour rien. L’un des gus de ce van a dû voir la carte du Palace traîner dans ses poches et elle était tombée dans le van. Par contre j’ai trouvé un passe électronique dans l’attaché-case d’un cadavre d’une chambre. Lui, alors, aucun risque qu’il se relève, il ne restait quasiment que les os sur lui, même pas la tête. Dévoré vif, brrrr, terrible. Et s’il n’était pas au courant de l’accident, il avait peut-être pensé que l’employée de maison se jetait à sa gorge parce qu’il ne lui avait pas laissé de pourboire … terrible de mourir ainsi, mais je m’égare, non, pas dans le palace. Un passe électronique donc, conservé comme une précieuse relique, ce serait bien si je savais à quoi ça servait, mais je la garde, on ne sait jamais. Avant de quitter les lieux, je vais au bar du Palace, histoire de voir si je peux trouver une bouteille de champagne, parce que comme on dit, après l’amour, le champagne. L’idéal serait de mettre la main sur du don pérignan, mais il ne faut pas trop espérer non plus. J’entre dons dans la salle de réception et m’approche du bar quand j’aperçois une silouhette bouger derrière le comptoir, justement. Je braque aussitôt mon pistolet, mon desert eagle dans cette direction, plus vigilante que jamais, avant de me dire qu’un zombie ne se serait pas planqué de cette façon à mon approche. Je pense donc qu’il sagit d’un survivant, et je redouble de prudence, parce que les vivants sont loin d’être amicaux entre eux.

"Je sais que vous êtes là, montrez vous les mains en l’air ou je vous débusque et tapisse le bar avec votre cervelle."

Ce disant, je contourne prudemment le comptoir par la droite, tous les sens aux aguets.

Koyomi avait passé la journée à trouver de la nourriture , elle passait inaperçu parmi les zombies avec ses bonnes vieilles illusions , elle se promena dans les rues sombres et trouva un immense hôtel , elle entra et alla dans une des chambres , elle trouva des habits pour remplacer les siens un peu sales et elle alla se laver et se changea , elle alla se mettre sur un lit propre et s'endormit comme une masse

* le lendemain *

Koyomi se réveilla le soir , elle avait passé toute la journée à dormir , elle descendit en bas et alla derrière le bar pour trouver de quoi manger et boire , elle trouva ce qu'elle cherchait mais elle entendit une personne hurler , elle sursauta et ne bougea pas regardant la silhouette bouger

Je vois, refus d'obtempérer. Je fais du bruit, comme si je continuais à coutourner le comptoir par la droite, alors qu'en fait, je saute souplement sur le coté gauche, braquant mon flingue sur le front d'une personne bien vivante à priori, une jeune femme en l'occurrence. Je lui dis très lentement, en articulant chaque syllabe pour que la rescapée présumée comprenne que je ne plaisante pas :

"Pas bouger."

L'instant d'après, c'est moi qui la bouge, je la plaque sans lui faire mal mais sans mollesse non plus le torse sur le comptoir. La, je la fouille à la recherche d'une arme, sans la peloter hein, je suis une professionnelle. Pas d'arme sur lui, je m'écarte donc d'un pas et baisse mon arme, mais sans la quitter des yeux, au cas où.

"Salut la survivante, je suis Gabi, rescapée aussi, tu l'auras compris. Je devais m'assurer que tu étais clean, ce qui est presque le cas. J'ai juste une question pour toi, as tu été mordue par un zombie ?"

La question posée, je conclue par ces mots en lui vouant un regard aussi acéré que celui d'un aigle ayant repéré son déjeuner :

"Si tu mens, je le saurai et ce sera bien pire pour toi qu'une simple contamination, alors tu as tout intérêt à être franche."

Je m'assure au passage qu'il n'y a pas de complice éventuel dans le coin, prêt à me sauter dessus, mais je ne perçois aucun mouvement autour de nous.

Koyomi regarda la jeune femme effrayée , elle se leva tenant une bouteille d'alcool et un paquet de chips et dit en tremblant :

Je m'appelle Koyomi et non je n'ai pas été mordue par un zombie

Elle regarda la jeune femme toute tremblante , elle lui dit après :

Je vous jure que je ne suis pas un zombie je vous le promet

Elle avait été une scientifique de bio-grad , elle avait été aussi infecté mais assez légèrement pour seulement avoir des pouvoirs et non devenir un zombi

Elle me parle en tremblant, elle tremble en parlant, elle a l'air jeune, mais il ne faut pas s'y fier. Je la regarde dans le blanc de l'oeil, comme si je la sondais jusqu'aux tréfonds de l'âme, comme si j'étais un détecteur de mensonge sur jambes. Je pense qu'elle ne ment pas, j'en suis sure à quatre-vingt-dix-neuf pour cent. En fait, j'ai la flemme de l'ausculter. Si elle devient zombie, il y a aura des signes avant-coureurs qui ne trompent pas, et je lui logerai une balle dans la tête. Je rengaine donc mon arme et lui ébouriffe les cheveux, avant de lui piquer son paquet de chips.

"Ca va, tu as passé le test, Koyomi. Joli nom. Je te pique tes chips. Oui, je t'en laisse, halala. Hop, je fais péter les chips."

Ce disant, j'ouvre le paquet avec les dents et me prends une bonne poignée de chips avant de le tendre à la jeune survivante, le paquet, mais sans le lâcher. Je dis alors autre chose mais c'est incompréhensible avec les chips que je mâche. C'est comme chanter avec un sexe de mâle en bouche, c'est dur. De toute façon, je ne sais pas chanter, mais j'aime les chips. J'avale donc ma grosse bouchée avant de réitérer mes propos, mieux cette fois :

"Sois gentille, va nous chercher deux verres propres pour ta bouteille, qu'on trinque à notre rencontre effectuée sur des bases tellement ... amicales. Je garde les chips en otage alors grouille-toi."

Koyomi toujours tremblante regarda la jeune femme , elle déposa la bouteille sur le comptoir et alla chercher deux verres , elle trouva les deux verres et encore une bouteille d'alcool et pleine , elle rapporta ses trouvailles et dit :

J'ai trouvé quelque chose de très intéressant .

Elle montra la bouteille et elle sourit , elle alla près d'une table vide et invita la jeune femme de se joindre à elle , elle déposa les verres et la bouteille, elle se releva et prit l'autre bouteille d'alcool et elle rejoignit la table et s'assit calmement

"Bien sur, on n'allait pas rester debout comme des zombies. T'inquiète pas à leur sujet, la zone est saine, au moins pour quelques heures, mais je vais t'emmener au Refuge, parce qu'on n'est pas les seules survivantes tu vois. Tu seras en sécurité là bas mais pour le moment, buvons !"

Je regarde la bouteille avec intérêt même si je ne bois pas plus que ça, je ne suis jamais saoule, c'est mauvais pour la perception. Je suis Koyomi jusqu'à une table et pose mes fesses sur une chaise à coté de la jeune femme. Là, j'ouvre la bouteille, de la vodka, ça va arracher la gorge, ça. Je nous sers un verre, à Koyomi et à moi.

"Survie, santé et baise."

Je bois une gorgée et sens l'alcool comme exploser dans ma tête.

"Houla, ça pique mais c'est bon."

Une autre gorgée, une, tout en regardant la survivante.

Koyomi sourit calmement elle savait qu'elles avaient tout leur temps car les zombies ne les verra pas elle leva son verre plein et dit :

Santé et baise

Elle but cul sec son verre et se resservit et dit calmement :

Au fait je préfère rester loin du refuge j'ai quelques problèmes avec eux

Elle était une mutante donc elle ne sera pas très aimée par les rescapés , elle but son deuxième verre cul sec mais comme elle ne tient pas super l'alcool elle s'évanouit en souriant

Ha, elle connait le Refuge, alors, mais elle l'a quitté, voila autre chose. A priori, elle peut survivre seule, c'est juste que ... elle ne supporte pas l'alcool. Je la vois sourire et s'évanouir, ou l'inverse, peu importe hein, on ne va pas chipoter, couper les cheveux en quatre, c'est pas dans ma nature, ça. Protéger et servir, ça oui, même si je râle souvent contre ces imbéciles qui se mettent tout seuls en danger de mort. Je regarde Koyomi, soupire et la porte jusqu'au canapé ... mouais, il est trop sale, le canapé, trop troué aussi. Je joue donc des muscles et porte la jeune femme jusqu'à la chambre la plus proche. Là, je la pose sur le lit et reprends mon souffle, parce qu'elle n'était pas si proche que ça. Bourrée après deux verres, elle ne coûte pas cher la petite Koyomi, et elle est partie pour pioncer quelques heures. Tant pis pour moi, je la dénude entièrement et la met dans le lit avant de la border, de fermer la porte à clef, et de m'assoir sur le fauteuil le plus confortable de la pièce. Je vais m'assoupir un peu aussi, pas de risque que les zombies viennent chercher ici, à moins que des abrutis d'autres survivants envahissent le Palace en faisant du chahut, mais alors, je les entendrais. Je retire donc ma veste, mon sweet shirt parce que j'aime mieux dormir les seins à l'air, je penche la tête sur le coté et je m'assoupis donc, d'un oeil comme on dit. Fin, d'un demi-oeil.

Yomi prit la place de Koyomi , elle ne se réveilla pas car elle voulait voir comment la jeune femme allait la traiter , elle fut transporté dans une chambre et déshabillé , elle attendit que la jeune femme s'endorme et quand elle dormit , elle se réveilla et se mit sur elle et dit sensuellement :

Debout mon petit papillon ta petite fleur te demande

Elle sourit calmement et lècha le cou de la jeune femme , elle lui retira le reste de ses habits et lui caressa ses seins doucement et elle se mit à les lècher doucement

J'ouvre un oeil, puis deux en sentant une langue sur ma peau, je regarde et je ferme les yeux. Je rêve donc. Puis je les rouvre parce qu'en fait, je ne rêve pas. Koyomi est sur moi et me suce les seins, à les lécher avec une gourmandise visible sur son doux visage. Moi qui la pensais timide, elle cachait bien son jeu ! En plus, elle est douée, mes seins sont durcis par le désir, par cette langue experte qui me fait tant de bien. Je suis bisexuelle après tout. Néanmoins, je la regarde avec un air un peu amusé, pas assez excitée pour perdre toute raison et me jeter au cou de la jeune femme, même si sa nudité est très belle, ce que je ne suspectais pas quand elle portait ses vêtements unisexe.

"Koyomi, tu profites de moi pendant que je suis assoupie, pendant que je ... médite. Tu es une vilaine fille. J'ai un homme dans ma vie, et si je n'étais pas bi, hein, tu aurais des scrupules ? Tu vas faire quoi maintenant, ma belle, profiter de mon corps avec délice, mais aussi me laisser accéder à ta bouche et cuisses, moi, une inconnue ?"

Je dis cela tranquillement, sans bouger, attendant de voir comment Koyomi réagit. Je me demande si elle va retrouver en quelque sorte sa raison ou profiter de mon corps, prenant ma passivité pour un accord tacite. La situation est inhabituelle mais je trouve la réaction de cette demoiselle vraiment étrange, aussi j'attends la suite des événements pour me faire une meilleure idée de comment développer notre relation naissante, repousser ses avances ou la laisser faire et même, jeter mon dévolu sur elle.

Yomi regarda la jeune fille qui lui parlait , elle sourit calmement et dit :

Désolé mais Koyomi n'est pas là mon petit papillon je me nomme Yomi je suis son coté plus comment dire son coté virus

Elle plaqua les mains de la jeune femme sur le lit pour qu'elle ne bouge pas et elle lècha ses lèvres doucement avant de l'embrasser :

et je n'éprouves aucun remord d'avoir une relation sexuelle avec un petit papillon comme toi

Elle rit et l'embrassa à nouveau d'un baiser plus langoureux et elle la regarda dans les yeux

"Je vois, tu es une mutante, ça se voit à cette charmante lueur verte dans tes yeux, et que tu ne peux plus dissimuler maintenant que tu montres ta force."

Je me retrouve plaquée sur le lit, par la force de la mutante. Oui, tous n'avaient pas la force physique d'aplatir des véhicules d'un claquement de doigts mais au moins bien assez pour m'empêcher de bouger, comme c'est le cas de Yomi donc qui sous cette personnalité, compte bien jouir de moi sans aucun complexe. Amusée par cette situation étonnante, je réponds à son baiser langoureux, enfonçant ma langue dans sa bouche, jouant avec la sienne et lui sourit avec malice alors qu'elle me regarde dans les yeux.

"Petit papillon, c'est mignon. Tu me tiens sous ta poigne mais tes moyens sont limités ainsi ... tu ne peux pas faire ce que tu veux de tes mains ..."

Yomi sait fort bien qu'en me lâchant un seul instant, je peux prendre le dessus sur elle malgré sa force plus évoluée que la normale. Que va-t-elle faire ? Se contenter de m'embrasser, de me sucer les seins ? Je la regarde tranquillement, guettant l'air de rien la moindre ouverture de sa part. Je ne lui veux pas du mal malgré ses manières cavalières, c'est juste que je n'ai pas une nature à me laisser faire, surtout ainsi, si aisément, même si elle me fait de l'effet cette mutante. Je me demande donc avec curiosité où tout cela va nous mener. Jusqu'à sa langue dans ma chatte, et moi lui rendant la pareille en lui broutant aussi le minou ? Qui peut le dire, alors. Pas moi, en tout cas !

Yomi lècha le cou de la jeune femme et elle la lacha doucement et se leva et dit :

Viens avec moi mon petit papillon j'ai besoin d'une bonne douche pour enlever toute cette sueur et je crois que toi aussi

Elle sourit et tendit sa main à la jeune femme , elle la regarda et dit :

N'aie pas peur je ne mord pas

Elle rit un peu et attendit que la jeune femme lui prend la main

Et voila, la petite faiblesse qui perd Yomi. Elle me lache, me tend la main et grâce a une de mes techniques de clef, se retrouve l'instant d'après assise sur moi, dos contre ma poitrine, les deux bras pliés dans le dos et tenus par une seule de mes mains, au niveau de ses poignets croisés. Je la tiens sans force, sans lui faire mal, je n'en ai pas besoin et lui murmure à l'oreille :

"Si tu utilises ta force, dans ta position, tu vas te déchirer les muscles des bras, parce qu'ainsi, je retourne justement cette force contre toi. Tu ne mords pas mais tu as été cavalière avec moi, me sautant dessus sans te demander si je serais d'accord ou pas, alors je fais de même avec toi, et moi je mordille un peu ..."

Ce disant, je lui mordille justement le lobe de l'oreille, alors que ma main libre pelote un sein de la jeune femme, puis glisse sur son ventre nu et arrivée à son intimité, lui titille le clitoris.

"Tu aimes ça, Yomi, être à moi, hein, tu aimes ça. Dis-le que tu aimes ... je veux t'entendre gémir de plaisir ..."

Ce disant, je l'embrasse dans le cou, tout en enfonçant un doigt dans le vagin de ma belle proie, puis un deuxième, un troisième avant de les faires aller et venir, lentement, d'abord ... très lentement ...

Yomi sourit calmement et elle se laissa faire un moment et soudain sa tête fit un 180° elle sourit et dit :

As tu peur maintenant

Elle rit et son corps se changea en un monstre informe d'où l'illusion projettait , elle rit toujours et attendit que Gabi la lache pour annuler l'illusion

Tu vas connaitre l'enfer petit papillon

l'illusion montrait qu'une tentacule entrait dans le vagin de Gabi , elle sentait la tentacule entrer en elle mais cela n'était pas vrai

Mon esprit enregistre l'intention de Yomi lorsque tout à coup elle se change en monstre. Elle veut que j'ai peur. Un tentacule semble me pénétrer mais mon esprit semble faire la part des choses. En un mot comme en mille, mon instinct me crie que je suis manipulée mentalement, mais rien n'y fait, je lâche vivement Yomi avant de me retrouver plaquée au mur d'en face avec une expression de sainte terreur sur le visage, sans compter mon coeur comme sur le point de sortir de ma poitrine tellement il bat vite. Comme je sais que c'est une illusion, je reprends mes esprits, me calme mais j'ai été eue, c'est comme ça, Yomi a donc plus d'un tour dans son sac. Autant accepter son offre d'égalité, et même de sexe sur un pied d'égalité, puisque de toute façon j'ai bien envie de son corps. Certes, il manque un peu de sentiment mais ce qui va suivre va donc être déterminant en la matière.

"Bien joué, Yomi, pour un peu je me faisais dessus tant c'était inattendu, tu es talentueuse dans ton domaine."

Je reprends totalement mon calme et lui tends la main en la regardant avec sensualité.

"Si tu ne m'avais pas parlé de peur, je me serais évanouie et je devine que tu aurais pu m'asséner une vision bien plus atroce qui m'aurait laissé sur le carreau, comateuse ou morte. Je t'ai proposée de t'amener au Refuge sans rien te demander en échange et je pense que tu m'as épargnée pour ça. Je trouve cette attention plutôt cool, et j'ai très envie qu'on fasse l'amour, sans chercher à nous dominer l'une l'autre donc. Ca te dit, petite fleur ?"

Yomi sourit en voyant sa chère compagne hurler de terreur , mais quand elle découvrit que c'était une illusion ,elle l'annula et dit calmement :

Bon je veux bien mon petit papillon mais pas de refuge pour moi

Elle lui prit la main et l'amena dans la salle de bain et la plaque contre le mur de la douche :

On sera mieux ici mon petit papillon

Elle fit couler l'eau chaude et l'embrassa doucement

Une douche encore en état de marche, on a de la chance. Koyomi le traitant d'égale à égale, voire même me respectant, je me sens toute émoustillée et me laisse plaquée contre le mur avant de répondre à son doux baiser. Nous sommes toutes les deux nues sous l'eau bientôt tiède de la douche, et j'embrasse avec plus de passion ma belle fleur en caressant ses seins avec envie, sentant mon rythme cardiaque augmenter peu à peu sous l'excitation sexuelle, sous le contact de la peau de Yomi contre la mienne. C'est un moment très agréable et ce n'est que le début. On peut dire que c'est la vie de chateau, voire la vie de Palace, héhé, et tant pis si la jeune femme ne veut pas me suivre au Refuge, je ne l'y aurais pas forcée de toute façon. Elle peut très bien se défendre toute seule.

"J'adore le goût des lèvres, ma belle fleur ..."

Dis-je entre deux baisers, avant de jouer à nouveau avec la langue de Yomi. Ca aussi, c'est délicieux, il est vrai.

Yomi regarda la jeune femme et lui sourit , elle l'embrassa encore profitant du goût doux de ses lèvres , elle le rompit pour dire calmement :

Tu veux goûter aux autres ?

Elle montra plus bas mais avant , elle descendit calmement et lècha l'intimité de sa compagne doucement et elle entra un doigt et dit :

Mhh c'est chaud en toi

Elle fit tourner son doigt rapidement en sa camarade

Yomi me propose de gouter aux autres, tout en goutant à une partie de mon corps, en fait. Comme je suis debout dans la douche, mes jambes tremblent d'émoi quand elle se baisse et lèche mon intimité, avant d'y enfoncer doucement un doigt et de le faire tourner rapidement, me faisant mouiller de désir. Je gémis sous une telle attention et me caresse les seins en levant les yeux vers le plafond, tellement c'est bon.

"Ho oui, Yomi, continue, oui."

Cette petite mutante est vraiment unique. Sous des airs innocents, c'est une belle coquine et je sens que je vais beaucoup apprécier de frotter ma chatte contre la sienne, jusqu'à l'orgasme, mais pour l'heure, je savoure pleinement son cunnilingus, emplie de désir de sentir sa langue s'enfoncer dans mon intimité.

Yomi sourit calmement et elle se remit à lècher l'intimité de Gabi , elle montra son doigt mouillé à celle-ci lui fesant signe de le lècher , elle entra sa langue dans l'intimité de son amour et avec son doigt libre elle se mit à doigter l'anus de celle-ci , elle arrêta après 5 minutes et se remit à la hauteur de Gabi pour l'embrasser et dit :

A ton tour mon petit papillon

Elle l'embrassa d'un baiser langoureux et se mit contre le mur bougeant son corps sensuellement

Je caresse la chevelure de ma belle pendant qu'elle me doigte la chatte, pendant qu'elle enfonce la langue en moi et me fais gémir toujours plus fort de plaisir. Elle me doigte même l'anus, décuplant mon désir, ma jouissance. Cela dure de longues minutes et me fait chanceller sur mes jambes tellement elle me fait de l'effet, puis elle se redresse pour m'embrasser et me dire que c'est à mon tour. Je lui voue alors mon sourire le plus coquin après avoir répondu comme il se doit à son baiser :

"Avec plaisir, ma petite fleur."

Je la regarde se coller au mur et bouger sensuellement puis me love à elle et lui suce les seins, avant de glisser mes lèvres sur son ventre plat, et d'arriver à son vagin dont j'embrasse les lèvres vaginales avec gourmandise. J'adore le gout de sa chatte, et je titille son clitoris du bout de ma langue tout en pénétrant son intimité avec deux doigts et de faire des vas et viens rapides entre eux.

"Tu aimes, ma belle ?"